Festival « Confluences » à Aiguillon (47) du 18 au 20 octobre 2019 & Diaporam’oud Ouzbékistan & Tadjikistan à Bazens (47) le samedi 19 octobre 2019 à 20h30

Je vous invite à me retrouver le weekend prochain au Festival international d’aquarelles « Confluences » à Aiguillon (47) 
J’aurais un stand les 3 jours consacrés au carnet de voyage en compagnie de collègues et amis carnettistes., soit vendredi, samedi, dimanche de 10 à 18h 
Entrée gratuite
Toutes les infos ici. 

Je présente le samedi 19 octobre à 20h30 à l’église de Bazens (à 8 km d’Aiguillon) mon diaporamOud Asie centrale – Ouzbékistan & Tadjikistan. 

Participation libre mais indispensable

Philippe Bichon présente un diaporama sur fond de sonorités orientales, jouées en direct sur son oud (luth arabe). L’idée est de retrouver sur scène le même esprit que les carnets de route, qui sont réalisés sans brouillon et sans filet, lors du voyage.
Ce montage numérique mêle photos, croquis et aquarelles extraits de son carnet de route réalisé sur le vif lors d’un voyage de 2 mois en solitaire en été 2013. Photos, croquis, aquarelles et musique vous transporterons ainsi sur les pas du globecroqueur à la découverte de ces 2 pays d’Asie Centrale, loin des clichés et idées reçues.
L’auteur présente également ses carnets originaux. Le carnet de route a été publié et sera dédicacé.


Après l’Iran, le Yémen et l’Ethiopie, Philippe vous propose de découvrir une partie de la Route de la Soie.
L’Ouzbékistan au patrimoine architectural très riche avec ses mythiques cités turquoise de la Route de la Soie. De la Mer d’Aral (ou ce qu’il en reste) à la Vallée de la Ferghana, en tant que voyageur indépendant et au-delà de la « carte postale», l’auteur a pu se rendre compte de certaines réalités d’un régime totalitaire. Un peu trop touristique désormais, lepays offre moins d’aventure que son pays voisin
Le Tadjikistan l’a séduit par ses paysages de montagne, des monts Fan au Pamir, véritable désert d’altitude, en passant par la vallée du Wakhan, face à l’Afghanistan. Dans ce pays, où le persan a perdu ses arabesques pour s’écrire en cyrillique, le globecroqueur a retrouvé l’hospitalité persane qui l’avait tant séduit en Iran.


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